Du matériel d’occasion revendus dans les rues de Dakar et ses banlieues.
Quelques photos de la décharge de M’Beubeuss
Voici ce que j’ai pu prendre en photo. Des animaux…
Des cabanons… et des récupérateurs.
La longue file de camions bennes bloqués par les inondations.
Des incendies qui naissent avec le soleil et les déchets
Une décharge qui s’étend à perte de vue…
La rencontre avec le récupérateur éléctronicien
Un petit aperçu des déchets électroniques dans la décharge
Les récoltes du récupérateurs formés par Enda au centre Bokk Diom
L’électronicien dans son cabanon, à l’ombre
Des récupérateurs que je ne dois pas prendre en photos qui ramassent des fils électrique, qu’ils font bruler pour récupérer le cuivre.
Des e-déchets usés par l’eau
Bokk Diom, aussi un centre de formation
Le centre Bokk Diom propose aussi des formations aux récupérateurs de la décharge. C’est par ce centre que l’électronicien que j’ai rencontré à été formé au traitement des e-déchets.
« Y a moins de problème depuis l’informatique, c’est un plus ! » m’explique le Docteur, chargé de la communication.
Les renseignements pour s’inscrire à ces formations qui s’adressent aux populations vivant sur la décharge peuvent s’obtenir par téléphone et sont payantes.
Bokk Diom : la case santé
Visite du cabinet médical ou de la case santé
Le docteur me montre les tableaux qui aide à détecter les maux, il faut répondre par oui ou par non et poursuivre le diagnostic. Pour détecter le paludisme.
Des tableaux de recensements des problèmes de santé sous formats papier sont tenus mois par mois/année par année depuis 2006
Ce tableau 2009 de recensement des maladies est en cours. Remarquons aussi les taches d’humidité qui font baver les écritures.
La salle d’examen, composée d’un lit derrière un rideau sans aucune ventilation et la salle et la salle des malades (sans porte).
« Même quand tu n’as rien je te donne des médicaments, c’est un plaisir pour moi. Moi je lutte contre la maladie »
CHAT: la salle de stockage en image
Voici la salle ou sont stockés une partie des 10.000 ordinateurs que l’entreprise Axa assurance France et la ville de Besançon se sont engagées à donner à l’Etat Sénégalais tous les ans pendant 3 ans.
Séneclic l’agence gouvernementale de lutte contre la fracture numérique, a signé la convention avec axa assurance et la ville de Besançon elle a créé le centre CHAT qui reconditionne les ordinateurs et la Séneclic se charge d’équiper les écoles selon des critères d’évaluation qui veillent à ne pas intervenir sur le cursus normal d’éducation, forme les enseignants, et prend en charge l’aménagement, l’électricité, les connexions et la maintenance de chaque salle.
La visite du CHAT en image
Octobre 09: Visite du CHAT, Centre des Handicapés Au Travail, centre créé dans le cadre du projet e-déchet par Sénéclic, l’agence gouvernementale de lutte contre la fracture numérique
Inauguré en mars 2009, la création de ce centre a été créé grâce au partenariat multipartite entre AXA France, la Sénéclic et la ville de Besançon. Le CHAT est mis en avant comme étant le fruit d’une coopération entre pays du Nord et pays du Sud ainsi qu’entre secteur public et privé.
C’est le « volet social du projet » : 10 travailleurs handicapés sont chargés du reconditionnement des dons en matériel informatique. Ces ordinateurs ont, au préalable, été récupérés dans les locaux d’Axa France par Besançon clic. Le CHAT de Besançon les a ensuite triés et reconditionnés avant de les envoyer à Sénéclic.
Ces personnes nettoient, vérifient le bon fonctionnement des appareils et installent des logiciels éducatifs. C’est après cette étape qu’une équipe technique achemine le matériel reconditionnés aux écoles primaires choisies par Sénéclic. Au jour de ma visite 73 écoles primaires de Dakar et de la région étaient d’ores et déjà équipées.
La Sénéclic prend tout en charge grâce au budget de l’Etat : l’ameublement, la réfection, la sécurisation, l’installation et la maintenance ainsi que la formation, le dépannage et les connexions à internet.
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